poeme la mer

Une sélection de poèmes sur le thème de la mer et des océans, proposés par le site de poésie française, poetica.fr. Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme. Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur. Se distrait quelquefois de sa propre rumeur.

poesie ocean

Rythme des vagues. François Coppée. J'étais assis devant la mer sur le galet. Sous un ciel clair, les flots d'un azur violet, Après s'être gonflés en accourant du large, Comme un homme accablé d'un fardeau s'en décharge, Se brisaient devant moi, rythmés et successifs. J'observais ces paquets de mer lourds et massifs. Et de lumière. D'immensité. Et en moi sera le désert. N'y entrera que ciel léger. Et je serai face à la mer qui viendra battre les rochers. Giflant. Cinglant. Usant la pierre. Frappant. S'infiltrant. Déchaînée. Et en moi sera le désert. N'y entrera ciel tourmenté. Et je serai face à la mer, statue de chair et coeur de bois. J'aime la mer en hiver. Lui, il y met les vagues. Moi, j'y mets les pensées. (Fabrizio Caramagna) Combien de fois ai-je nagé dans les yeux de la mer et ai-je vu ses rêves. Un jour, une vague a attelé un char à un nuage. Quand je reviens sur le rivage, j'ai conscience d'avoir laissé quelque chose d'indicible. (Fabrizio Caramagna) Les plus beaux textes philosophiques sur la mer et l'océan. Il y a fort à parier que lorsque les premiers Sapiens ont embarqué sur des radeaux de fortune pour coloniser les.

Pin on Sable et lumière miroirs et Reflets poétiques

Voir ici une anthologie des poèmes de la langue française. Ce toit tranquille, où marchent des colombes, Entre les pins palpite, entre les tombes ; Midi le juste y compose de feux. La mer, la mer, toujours recommencée ! Ô récompense après une pensée. Qu'un long regard sur le calme des dieux ! Comprendre la naissance d'une vague, observer les fumeurs noirs des profondeurs, admirer le théâtre corallien ou le ballet des animaux bioluminescence… ce beau livre documentaire donne à voir les multiples visages de l'océan et en explique les mystères. La vague est une puissance élémentaire aveugle. Le philosophe Alain le remarque dans ses Entretiens au bord de la mer (1931) : « La vague ne veut rien, elle est poussée et balancée. Charles Baudelaire La grande vague de Kanagawa, estampe d'HOKUSAI La joie de vivre Je me promène sur la mer. C'est bon d'entendre les vagues S'écraser sur le rivage Et l'air qui fouette le visage. Il y a des petits poissons Qui chatouillent nos pieds Et les vagues commencent à arriver. On ne veut plus jamais partir,

Au pays des images et des mots Poème En regardant la mer

- Météo marine qui dépend des états d'âme de Jeanne : au baptême du bateau "la mer est calme" ; quand Julien dévoile son avarice "la mer est immobile d'un azur puissant, comme figée, comme durcie" ; massacre de Julien et de la comtesse "la mer houleuse roulait ses vagues" -> la mer est indispensable à l'expression des sentiments de Jeanne. A la forme, à la vie et même à la pensée La matière éparse en mon sein ? J'aspire ! C'est mon cri, fatal, irrésistible. Pour créer l'univers je n'eus qu'à le jeter ; L'atome s'en émut dans sa sphère invisible, L'astre se mit à graviter. L'éternel mouvement n'est que l'élan des choses Vers l'idéal sacré qu'entrevoit mon désir ; Pour lécher tes orteils sur la grève, Pour bercer ton corps étendu sur le sable, Pour sculpter et déplacer les dunes. Écoute mon ami le chant des vagues. Elles viennent frapper les rochers, Elles viennent nettoyer la plage, Elles viennent ensevelir les intrépides nageurs, Elles viennent défaire les châteaux de sable. Poète au triste front, Tu rêves près des ondes, Et tu tires des mers bien des choses qui sont. Sous les vagues profondes ! La mer, c'est le Seigneur, que, misère ou bonheur, Tout destin montre et nomme ; Le vent, c'est le Seigneur ; l'astre, c'est le Seigneur ; Le navire, c'est l'homme." Juin 1839.

poeme la mer

« J'aime la mer et j'aime être en mer. J'aime partir, larguer l'amarre et passer les feux ; j'aime naviguer, voir le vent tourner, la brise adonner, le ciel changer, la mer se former et se déformer… « Le soleil maintenant brûle mon visage, brûle mes yeux. la mer est si belle, avec sa houle lente qui vient de l'autre bout du monde. Les vagues cognent contre la côte en faisant un bruit d'eau profonde. Je ne pense plus à rien.